Pour ceux qui me lisent pour une première fois, vous vous demandez d'où vient le surnom Fred Ferrari. Je vous invite à me relire sur mon blogue dans les Dolomites en 2014.
Ferrari demeure toujours une passion, même si le vélo est mon sport préféré. Je lis beaucoup sur les voitures qui ont vues naissance à Maranello, particulièrement sous l'ère d'Enzo Ferrari. J'ai visité l'usine Ferrari à Maranello plus de 4 fois, et j'y retournerai encore et encore lors de mes prochains voyages en Italie.
Lors de mon premier séjour à vélo en Suisse en 2012, j'ai tenté d'avoir un rendez-vous chez le collectionneur Jean-Pierre Slavic qui possède la plus grande collection de Ferrari en Suisse. Il y a quelques personnes de par le monde qui ont cette chance, et le plus connu a été M. Pierre Bardinon (décédé le 17 août 2012) en France (Mas du Clos) qui en a possédé plus d'une centaine dont les Ferrari les plus rares de la planète. Montréal peut se compter chanceux d'avoir un autre passionné et grand collectionneur de Cavallino Rampante, dont la collection compte des voitures de très grandes valeurs comme une 330 P4 1967, une 250 TR 1958, une 250 GTO 1962 et autres 288GTO 1984, F40 1987, F50, Enzo et LaFerrari pour ne nommer que celles-là.
Tous ces grands collectionneurs ont un point en commun et possède une des voitures la plus prisée au monde, la Ferrari 250 GTO 1962 estimée aujourd'hui à plus de 50 000 000$US. La dernière qui c'est échangée lors d'une transaction privée en 2014 a demandé la somme de 54 000 000$US. Et dire qu'en 1980, cette voiture n'attirait aucunement les collectionneurs et s'échangeait pour moins de 10 000$US.
Revenons donc à ce collectionneur Suisse. Donc, en 2012, j'ai tenté d'avoir un rendez-vous pour avoir une visite privée, entre passionné, c'est toujours possible de demander. Mes trois tentatives se sont avérées nulles. J'ai bien usé de mon statut particulier et de mes contacts, mais bon, ça n'a pas marché. J'essaie à nouveau cette année.
Pour l'histoire, cette collection privée a la particularité d'être sécurité 17 mètres sous terre dans la noirceur totale d'une pièce faite de granit noir lustré sous le grand domaine du propriétaire. Au dire de M. Slavic, le rouge est la couleur la plus difficile à conserver pour ces voitures assemblées il y a plus de 25, 30 voire même 50 ans. Ce rouge a la mauvaise habitude de moins tolérer les effets néfastes des longues expositions au soleil. La qualité des peintures a beaucoup changé depuis. Vous pouvez consulter le site du Musée privée de M. Slavic sur le lien suivant: http://slaviccollection.com/
Si le rouge Ferrari n'est pas votre couleur préférée, sachez que M. Slavic possède également des Porsche, Aston Martin, Rolls Royce, Bentley, Maserati, Bugatti, Alfa Romeo et bien d'autres. Vous y trouverez certainement votre couleur.
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